En voyant la durée du Directors Cut, l’inquiétude monte : 3 heures sur un compositeur classique, même Mozart, ça va être long. Quelle ne fut pas mon erreur !
Le générique de fin se déroule, et je reste presque sur ma faim, de ne pas creuser plus profond dans les méandres d'un Salieri machiavélique et d'un Mozart rock'n'roll.
Les costumes, le casting, les décors, les dialogues, et les nombreuses notes d'humour, tout fait mouche.
Loin du biopic calqué sur les faits, mais respectueux d'une ambiance historique, l’œuvre n'a pas pris un ride. Et depuis 24 heures, j'ai troqué le micro d'argent contre une flute enchantée.
Bravo.