Parlor, OK, c'est le nom du salon. Mais Anarchy ??? Il n'y a rien d'anarchique là-dedans. Au contraire, son petit business d'écorchement obéi à un rituel ancestral. Bon...
Sinon, comme d'autres l'ont dit avant moi, ce film se présente comme un démarquage orienté "tatouages" de Hostel. Pourquoi pas. J'avais bien aimé Hostel (toutes proportions gardées). Là c'est l'aspect tatouages qui m'intéressait (research study).
Que vaut le film ?
Euh... Les scènes de torture m'inspirent un ennui poli, supplanté par la grossièreté des personnages - tous, à l'exception notable de "L'Artiste", un vrai gentleman qu'on verrait bien en Pinhead dans le futur ex remake d'Hellraiser, jurent comme des charretiers à tout bon de champ, insultent tout le monde - entre deux scènes olé olé (merveilleuse scène de lap dance où le mec, un connard fini, repart pourtant avec la strip teaseuse à la fin de son service - ç'a l'air bien la Lituanie).