Une histoire virevoltante qui divertit c’est indéniable.
Je tiens tout d’abord à remercier Sean Baker pour la scène du divorce, merci de nous avoir fait jubiler (les spectateurs mais aussi Nikolai Zakharov).
Mikey Madison est bourrée de talent, une vraie championne.
Toutefois, c’est loin d’être le film qui va marquer notre année. Les dialogues sont très limités, des scènes bien trop longues où tout sonne creux. On navigue entre un brouhaha constant d’insultes et des moments de grand silence (en voiture notamment)
Ils ont déconné pour une palme d’or, ou alors cette année pue autant que le cucul d’Angel.