Très surpris qu'au XXIe siècle, on puisse encore exprimer dans un film qu'une femme ne peut pas être indépendante et épanouie si elle n'a pas un homme dans sa vie...
Du coup, pourquoi ne pas faire un petit caprice pendant les vacances d'été ?
Tout ça sur un fond de banalisation de l'adultère.
Le scénario n'a déjà rien de pertinent. Le film n'est pas non plus sauvé par sa réalisation. Au bout du 10e plan très large, le grand public a bien compris que la réalisatrice voulait marquer la solitude du personnage principal...
Au final, le seul élément amusant reste l'âne qui amène quelques sourires. A noter également, les panoramas magnifiques que nous offrent les Cévennes. Mais pour cela, des documentaires peuvent sembler plus appropriés.