Mes main en tremble, mes yeux en sont percé. Mon âme elle, complètement subjuguer. Je viens de voir a l'instant même, un film qui m'aura marquer et cela a vie. Il prend une place nouvelle dans mon cœur et dans ma façon de filmer... Un monument au mille images, une poésie sombre et meurtrière. Mais un film parlant de l'humain. Et sa c'est grand !
Que dire un début présentant déjà une grand part de réflexion. Plan du protagoniste en double exposition avec les palme tournante d'un hélicoptère, rythmé par leur son. Le personnage et en délire complet, et va même a frapper son propre reflet. Voilà le début.
Le capitaine Benjamin L. Willard va être assigner a une tache. Sa mission va être simple tuer un homme Kurtz. Etant devenue gênant, violent et faisant usage de méthode peut orthodoxe. Va débuter alors le voyage presque lunaire, dans un Vietnam alors en plein chaos. Lors d'une escarmouche, des soldats vont entre les explosions d'obus, pratiquer le surf. Le lieutenant-colonel Bill Kilgore sera durant cette affrontement sans couverture, comme un dieu, immortel, intouchable. Il restera debout du début a la fin.
Ensuite Le capitaine Benjamin L. Willard partira avec son petit escadron sur le fleuve dont la fin est sa destination. Durant cette remonté ils auront a faire a plusieurs tableaux dantesque. Un show de cowgirl. Un conflit à Do Lung Bridge. Celui-ci m'a procuré une sensation étrange. cette scène a une aura mystique, plein de soldat tire partout, sur des cible invisible, presque absente, seul les sons dessine les ennemi. Puis après un peut plus loin sur le fleuve il se font attaqué par une tribu, projectile inoffensif, ils baissent leurs gardes et un se fait transpercer par une lance.
Ensuit le passage aussi étrange qu'un songe, il rencontre des français qui protège leur terre.
Benjamin L. Willard sera loger et nourri.
Puis vient le dernier tableaux le camp de Kurtz. Ou ce passera un grand scène ou Marlon Brando / Kurtz philosophera, et dira sur un ton mémorable :
Kurtz - Vous êtes un assassin ?
Willard - Je suis un soldat
Kurtz - vous n'êtes ni l'un ni l'autre, vous êtes un commit que des épicier on envoyer encaisser un impayé.
Tout du long du film il est fait mention de ce colonel, droit bon et parfait en tout chose mais il a vrillé. Pendant 2h10 l'on se fait une image de monstre, et ce capitaine n'apparait qu'à la fin comme une ombre surgissant de la lumière, pour venir éclairé la part d'ombre en nous. C'est un Homme pensif qui se montre et non le monstre tant décrit par ces généraux au début du film.
Il y a tellement de chose que je ne peut pas aborder sans spoiler, ce que je ne compte pas faire, amis vraiment regardez-le, ce film est une leçon d'humanité et de cinéma tellement c'est beau et bien filmé.