Après Lui, le naufrage.

« Monte là-d’ssus » ne m’avait déjà pas franchement convaincu, sa suite « Après lui, le déluge », sortie en 1963, ne m’aura quant à elle, pas du tout intéressé.
On retrouve la même ambiance, les mêmes personnages, et la même intrigue, sauf que cette fois-ci le professeur Brainard nous invente une machine à contrôler la pluie, causant comme à son habitude, une série d’incidents.
Pour ne pas mentir, j’ai suivi le film d’un seul œil lorsque j’ai compris qu’il nous réservait la même formule que le premier, et les éléments fantastiques et attrayants de l’œuvre n’ont pas su me tenir en haleine.
Les personnages sont toujours aussi bizarres et énervants, les acteurs ne sont pas remarquables. Fred MacMurray est terriblement ringard. Son jeu ne me plait définitivement pas.
J’ai trouvé que cette suite était trop facile, souffrant de problème de rythme, de trucages décevants, globalement peu aboutis et sans grandes intentions. C’est complétement raté, pour moi.