Ce troisième opus des aventures de Prudence et Belisaire Beresford est une excellente surprise, (mieux que le n°2 qui était déjà mieux que le n°1). Le scénario est sans grande importance, n'étant que prétexte à des situations farfelues. A signaler une scène d'académie de dessin où le prof (Monsieur Courbet) se fait saluer par ses élèves d'un "Bonjour Monsieur Courbet" avant de mimer la pose du tableau "la folie" en regardant la jeune fille nue qui sert de modèle. On a aussi Dussolier qui fesse Catherine Frot (à sa demande) afin de lui rafraîchir la mémoire, et le final où un sale gosse est transformé en vieillard sénile. Un bon moment.