Détritus, un officier aigrefin et félon, piège perfidement Jules César en l’emprisonnant.
Il est assez rare pour le souligner, c’est une adaptation de bande dessinée des plus remarquables car les ingrédients qui font le sel de celle-ci y abondent. Les effets spéciaux sont particulièrement idoines simplement parce qu’ils pallient à leur future obsolescence assurée en étant gaguesques. Les costumes, dont l’évocation m’est inaccoutumée car tout le monde s’en contre-flûte sont excellents parce qu’ils respectent le matériau d’origine. La fin dans l’arène avec une myriade de bestioles est sensationnelle. Je ne regarde même pas les critiques des petit-bourgeois minaudiers et intolérants. Néanmoins, le métrage est dépourvu d’une seconde lecture sur notre société comme dans la BD.