Adieu
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Oui Dupontel se risque pour la première fois à mêler comédie et drame, à se lancer dans un budget trois fois supérieur à ses films précédents, à œuvrer dans un film d'époque et surtout à adapter une histoire qui n'est pas la sienne. Et OUI, le bonhomme réussit sur tous les fronts. Non seulement sa patte visuelle est bien là, mais en plus, son humour et sa sensibilité sont présentes dans toutes les scènes. Albert dit qu'il s'est reconnu dans les personnages de Lemaître, marginaux revenus secoués de la guerre et bien nous spectateurs, on le reconnait à nouveau dans une œuvre magnifique visuellement et une histoire bien ficelée.
Le cinéma français n'est pas encore mort, merci Monsieur Dupontel d'en être le plus grand défenseur.
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Créée
le 30 sept. 2017
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