Une première partie de film excellente, au sein du Carmel, c'est étonnant même car on a l'impression qu'Hollywood a compris l'esprit du "chemin de la perfection" de Sainte Thérèse d'Avila! On se régale, c'est vraiment un beau chemin de sanctification de la soeur Luc. Puis, la deuxième partie est un désastre, ça devient gauchiste, et tout ce beau travail de recherche de sainteté au sein du Carmel devient un escabeau pour descendre la vie religieuse. Le film devient donc un ennième film anti-catholique, pro libertarisme, glauque, gluant, voir pervert.
Du grand cinéma américain, on y trouve bien la pâte du diable.