C’est niais. C’est facile. C’est manichéen au possible. C’est vu, déjà vu et revu (big up au stéréotype du stéréotype du stéréotype du méchant vétéran Stephen Lang). Mais bordel qu’est-ce que c’est beau.
La découverte progressive de Pandora via les yeux de Jack Sully est époustouflante, l’univers créé fantastique. La nature y a d’ailleurs une place plus que centrale et Cameron compose une véritable ode à l’écologie (pis vu l’importance de la chose, ça fait plaisir de voir qu’un blockbuster lui accorde autant d’égards).
Pis y’a Sigourney Weaver, une sacrée belle bête (Toruk), et un joyeux bordel en guise de baston finale.
Ce qui nous fait un (petit) 8/10.