- T’as viré un gamin de dix ans ?
- Il m’avait traité de tête de gland
Un motard sibyllin tire sur toutes les personnes liées à l’arrestation d’un homme du cartel.
Légèrement plus sérieux et moins vulgaire, Adil El Arbi et Billal Fallah apportent un souffle nouveau à la franchise. Leurs scènes d’action sont sacrément plus lisibles que celles de Michael Bay. Mais l’esprit des deux opus précédents est inchangé et - je vous rassure - l’humour débile est encore de mise. Les dialogues contiennent des vannes qui fusent à un rythme déroutant et des interactions fort savoureuses entre les deux protagonistes. Le spectacle fonctionne toujours, à défaut d’étonner. Néanmoins, le personnage incarné par Martin Lawrence s’apparente à de la propagande chrétienne car il vante les valeurs de cette religion : Dieu, la famille et les tueries, c’est mal.