La Galice jusqu'à l'hallali
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Balaur (Dragon) décrit la faute d'une enseignante en éducation religieuse, mariée à un prêtre, tentée par l'un de ses élèves. Le premier film de Octav Chelaru ne se termine pas de la même façon que Mourir d'aimer, son propos est d'ailleurs tout autre, marqué par l'environnement pesant de son héroïne dont la psychologie reste assez énigmatique. Le film se caractérise par un cheminement assez classique, mais non dénué d'intérêt, avant un dénouement mélodramatique qui s'inscrit en sa défaveur. Qu'est-ce que le mal et comment le repousser ? Balaur est un peu balourd dans sa représentation mais beaucoup lui sera pardonné pour son habileté à créer un climat oppressant, dans une veine caractéristique du cinéma roumain, et pour l'interprétation de l'excellente Mălina Manovici.
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Créée
le 8 juin 2022
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