Après une propagande autant monstrueuse que plastifiante, Barbie sort en salle le 19 juillet. Mais qu’avons nous fait au bon dieu pour ramener cette peste rose tout droit venu des Etats Unis ?!
Les records d’entrées en salle sont tout à fait époustouflant d’autant plus pour un film réalisé par une femme et avec une visée soit disant féministe. C’est bien cela le seul attrait positif que l’on peut relever de cette orgie rose bonbon.
Le féminisme que j’évoque plus haut et dont Gretta Grewig semble promouvoir dans Barbieland semble plutôt relevé de la supériorité féminine, une belle prouesse misandre qui est donc étalé durant tout le long du film jusqu’à une promesse lointaine d’égalité entre les barbie et les ken. A part renforcer la haine envers la lutte féministe qu’avait déjà certains déchet de l’espèce humaine, cette prise de position extrême est une perte de bon sens voir d’humanité.
Barbie s’assoit également sur la première marche des arnaques en grand écran : 1h55 de publicité pour des grandes marques tel que Matell, Birkenstock ou des grands noms du star système hollywoodien avec Margot Robbie, Ryan Gosling, Emma Mackey qui semble être en manque de reconnaissance et de fric pour prendre le risque de se montré ridiculeusement vêtue de rose et dépourvu de tout dialogue un temps soit peu intéressant.
En parlant de l’écriture, je ne pourrais malheureusement pas vous faire part de grand-chose puisque la réalisatrice nous à donné que des miettes de pains à nous mettre sous la dent (et en plus rassi) pour la trame scénaristique.
Barbie est donc un géant fantôme de l’industrie du "cinéma".