Un casting accrocheur, on est curieux de voir Ryan Gosling en Ken, alors qu'on n'a pas trop de mal à imaginer Margot Robbie en Barbie.
Prévoir lunettes de soleil pour la plage et les couleurs arc-en-ciel du début à la fin.
Avant même de voir le film, on se demande quand viendra "Dance the night away" de Dua Lipa. D'autres morceaux du film ont fait les tops des charts ensuite. La chanson "Barbie girl" n'apparaît qu'au générique, reprise par Nicky Minaj et Ice Spice.
Pendant tout le film, il y a à la fois la comédie et la critique sociale. Barbie se frotte aux questions féministes tandis que Ken va s'imprégner du "patriarcat". Les deux vont être critiqués car la vision de l'enfant qui traite Barbie de fasciste, va changer d'avis à la fin, trouvant finalement qu'il y a une place pour la Barbie stéréotypée parmi les autres, tandis que l'illusion de l'homme viril renvoyé par Rocky et les chevaux va se solder par un échec.
Personnellement, c'est la performance de Ryan Gosling dans toutes les parties du film qui m'a fait le plus rire. Les passages en comédie musicale m'ont aussi beaucoup plu.
J'ai aussi aimé découvrir l'histoire de Barbie, avec toutes ces versions insolites. Pour certaines personnes, c'était des clins d'oeil, pour moi, c'était un voyage en terre inconnue.
Un magnifique double coup commercial pour Mattel et pour les producteurs du film qui s'en sortent avec un ratio gains/budget d'environ 10.
Barbie aura finalement vaincu Oppenheimer.