Batman et Roubiniol

mmmh mais que fait Bruce Wayne de ses nuits...

Rien de particulier enfaite:
il commence par enfiler un costume en simili-cuir (oui batman est à la peta), non pas moulant mais sculpté à partir d'une couverture de têtu (il a retenue la lecon de sa premier série télé où tout le monde c'est moqué de son ventre à Kro).
Pour les bat-tétons, je reste persuadé qu'ils ont leur utilité dans une scène coupé où batman doit aveugler un vilain ou faire fondre une serrure. Par contre aucune idée pour la bat-raie des fesses.

Quand à Robin, jeune adolescent fougueux s'habillant comme son mentor, avec des nuances de rose en plus, nie pourtant complétement l'amour, plus que paternel, qu'il a pour mr Wayne. Et insiste lourdement tout le long du film auprès de Brucie pour emballer la super vilaine qui tue quand on embrasse et enfin prouver qu'il est pas gay... c'est pas gagné Uma Thurman ressemble à un travesti dans ce film.

Quand au méchant, entre un mister freeze, ancien culturiste pailleté reconverti dans le surgelé, euuuuhhh l'autre truc miss botanic, et le gros catcheur en spandex qui deviens encore plus gros qu'en on appuie sur un bouton qui clignote...

Bien sur on passera sur le coté discrétion de batman qui adore coller des néons un peu partout, sur les bat-patins à glace que batman a toujours en prévention, sur l'humour pittoresque de tous les intervenants ("hey Freeze, t'es givrer!") et on conclura que batman ne laisse même pas crever tranquillement son majordome, qui veut tout simplement pas subir un opus de plus.

VDM