Sur le papier, on pouvait s'attendre à un film à la gloire de Beaumarchais, avec toute l'exubérance de Lucchini... Et bien, c'est malheureusement le cas : des tirades improbables jouées avec excès, le tout servi par un scénario toujours attendu... Dommage
Guitsby
5
Écrit par

Créée

le 18 août 2009

Critique lue 725 fois

3 j'aime

Guitsby

Écrit par

Critique lue 725 fois

3

D'autres avis sur Beaumarchais, l'insolent

Beaumarchais, l'insolent
pierrick_D_
3

Critique de Beaumarchais, l'insolent par pierrick_D_

Fin du 18e Siècle,les vies et l'oeuvre de Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais,resté dans les mémoires pour les triomphes de ses pièces "Le barbier de Séville" et "Le mariage de Figaro",mais qui fut...

le 4 mars 2021

4 j'aime

6

Beaumarchais, l'insolent
Chicago
8

Les lumières de Beaumarchais

Incarné avec fougue et talent par un Fabrice Lucchini au sommet de sa forme, Beaumarchais apparait tour à tour jouisseur, talentueux, malicieux, fourbe, modeste, opportuniste, romantique... et bien...

le 5 juin 2018

4 j'aime

Beaumarchais, l'insolent
AyanamiRei
5

Luchini, le show (Pas une critique!)

Vu sur C8. Fabrice Luchini, le show ! (Il est la seule véritable raison de voir ce film, et le film n'existe probablement que pour lui.) Dans un écrin "film de qualité française" (sans les moyens...

le 22 févr. 2021

3 j'aime

2

Du même critique

Astérix aux Jeux olympiques
Guitsby
1

Sanction !

Il faut savoir sanctionner sévèrement ce genre d'abominations... A se demander si le film a été réalisé par un vrai réalisateur; les dialogues sont inexistants, le scenario je le cherche encore... Le...

le 28 févr. 2010

52 j'aime

6

Inglourious Basterds
Guitsby
9

Ce que tu peux m'agacer Quentin....

Je lance un souscription mondiale pour que tous les fans de Tarantino se cotise afin de lui acheter enfin un scénario digne de ce nom... C'est incroyable de n'en avoir rien à foutre à ce point. Je ne...

le 13 sept. 2010

46 j'aime

38

Orange mécanique
Guitsby
8

Quel beau papier peint !

Comme avec Barry Lyndon, quelle modernité dans cette œuvre de Kubrick. Certes, le mauvais goût glauquissime de l'Angleterre des 70's nous arrache constamment quelques sourires, mais le choix de cette...

le 17 mars 2011

43 j'aime

9