Ado Arietta, "réalisateur underground culte de la Nouvelle Vague" (traduisez : cinéaste de seconde zone qui n'a rien filmé de marquant depuis les années 70... si on veut bien croire que Flammes ait un quelconque intérêt) signe une réécriture sans surprise ni saveur du célèbre conte de la Belle au bois dormant. Surjoué, prévisible, ennuyeux... Ado n'attend pas la concurrence et balance peut-être le film le plus embarrassant de l'année dès le mois de janvier. "Pas le temps de niaiser" avec les auteurs de la Nouvelle Vague ! Forcément, ce chef-d'oeuvre sénile qui fera forcément la joie des lecteurs des Cahiers ne pouvait être porté que par Niels Schneider, le nouvel Apollon du cinéma d'auteur dont la beauté n'égale que la mièvrerie. Bref, une horreur, fuyez, pauvres fous !