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Souvenirs brûlés.
Autant être prévenu d'avance, "Bellflower" n'est en aucun cas un thriller post-apocalyptique. Contrairement à ce que laisse supposer son imagerie directement inspirée de "Mad Max", ce premier film...
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le 24 nov. 2013
30 j'aime
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Bellflower par Charlouille .
C’est un film qui marque les esprits. Non par le sujet qu’il traite mais par l’utilisation d’une saturation assez improbable et une plongée dans une apocalypse rarement montrée à l’écran. Le film raconte la passion qu’ont deux amis pour Mad Max et l’apocalypse. Ils décident alors de construire la voiture (« Médusa ») et le lance flammes de leurs rêves, celle de la fameuse apocalypse, crachant des flammes. Se greffe à cette base d’histoire un amour de l’un des deux pour une fille rencontrée un soir. Le film bascule alors vers la moitié dans un enfer jaune et psychologiquement rude. L’impact sera plus fort si ici je tais la suite, les multiples évènements.
L’apocalypse c’est la catastrophe qui évoque la fin du monde. Ici il s’agit de la fin d’un monde, d’un rêve. Le monde c’est celui de Woodrow, le rêve c’est celui de lui et de son meilleur ami Aiden. Tout au long du film on suit la dégradation de l’esprit de Woodrow qui influe sur son entourage. Les images au début calmes, peu saturées tendent vers une saturation poussée, des ralentis vibrants et des esprits violents et apocalyptiques.
La suite de la critique et d'autres ici :
L’apocalypse c’est la catastrophe qui évoque la fin du monde. Ici il s’agit de la fin d’un monde, d’un rêve. Le monde c’est celui de Woodrow, le rêve c’est celui de lui et de son meilleur ami Aiden. Tout au long du film on suit la dégradation de l’esprit de Woodrow qui influe sur son entourage. Les images au début calmes, peu saturées tendent vers une saturation poussée, des ralentis vibrants et des esprits violents et apocalyptiques.
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Créée
le 15 avr. 2013
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