Adapté d'un roman policier, coécrit et réalisé par Salomé en numérique anamorphique panavision avec un petit budget, c'est un échec dédié vidéo. Le fantôme du Louvre commence par une scène archéologique en Égypte dans les années 1930 pour emprunter la direction du Louvre, avec une malédiction étrange. L'intrigue reprend de nos jours en revenant à la scène du début pour engager les effets fantastiques de la malédiction avec un rythme dynamique.
Les belles images laissent les personnages arriver dans un enchaînement maladroit, qui alterne les éléments du récit avec plusieurs directions. Les détails remontent dans le vaste mécanisme d'une découverte surnaturelle en reliant les événements aux personnages. L'action déclenche une affaire étrange qui permet à une terrible créature d'apparaître en remuant un dédale de mystères. Les révélations se dessinent avec une possession en poursuivant la violence, dans une réalisation brutale et confuse.
Les maladresses techniques démarrent l'investigation en regroupant les indices qui renforcent la malédiction dans une tornade terrifiante. L'histoire prévisible s'enveloppe d'une dimension fantastique en rassemblant les axes de la possession. L'enquête se referme dans une cérémonie, lors d'un dénouement violent et décevant, pour cette œuvre qui offre une mauvaise technique, en plongeant l'ensemble dans un rythme gênant, malgré un récit sensationnel et une belle performance des acteurs.
Entrées Salles France : env. 2.040.000 - Entrées Salles Espagne : env. 460.000 - Entrées Salles Mexique : env. 210.000.
> https://youtu.be/HNqMZweFy6g