Bienvenue au cottage par klauskinski
Durant sa première demi-heure, en inversant intelligemment les rôles, Bienvenue au Cottage s'avère très drôle: deux kidnappeurs un peu minables mais plutôt sympathiques essayant de jouer les méchants avec une otage absolument insupportable. La suite n'est malheureusement pas aussi heureuse, et malgré quelques saillies gore bien trouvées, on s'ennuie ferme. En s'aventurant ainsi sur le terrain un peu glissant de la parodie horrifique, Paul Andrew Williams ne confirme pas totalement le talent entrevu à l'occasion de la sortie de son premier film, London to Brighton.