La Galice jusqu'à l'hallali
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Ali et Zuhal s'enfuient après avoir commis un crime. Ils se réfugient dans un endroit isolé, en pleine nature. Comme à son habitude, le cinéaste turc Reha Erdem s'appuie sur un canevas minimaliste, l'histoire de deux Robinsons qui survivent à l'écart de la civilisation. Un cinéma moins contemplatif qu'à l'accoutumée, fait de scènes courtes et de peu de dialogues. La nature, rassurante ou effrayante, selon les moments, y prend toute la place. Avare en explications, le film se termine évidemment sur une conclusion ouverte et pessimiste. C'est l'un des films les moins austères de Erdem mais en contrepartie moins beau que Des temps et des vents ou encore Jîn.
Créée
le 23 sept. 2017
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