La Galice jusqu'à l'hallali
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À Bilesuvar, ville oubliée du sud de l’Azerbaïdjan, des personnages cherchent un sens à leur existence. Le film est une succession de situations, non connectées entre elles, du moins pas explicitement. Leur point commun est Bilesuvar, ou ses environs, une ville moyenne et sans attraits, dont les habitants semblent mener une vie assez banale, dénuée de grandes espérances. Un conscrit, un maître d'école, une chanteuse ... apparaissent tour à tour à l'écran, avec un quotidien terne qu'Elvin Adigozel, le réalisateur, regarde d'un ton légèrement ironique. Il faudrait peu pour que Bilesuvar bascule dans l'absurde ou la comédie et c'est un peu dommage que le cinéaste ne cherche pas dans cette voie. Sans décoller vraiment, le film reste plaisant, plus mélancolique que dramatique.
Créée
le 25 nov. 2020
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