Black est noir. Très noir.
Black fait mal parce qu'il fait bien les choses.
Il fait mal parce qu'il met mal.
Le mal du mâle : sa lame comme arme, une larme comme âme.
Ca fait mal au coeur, ça fait mal au moral et ça tue la morale.
Aucune issue possible, même la fuite a pris la fuite.
Sublimement réalisé, il asphyxie le spectateur autant que les personnages manquent d'oxygène.
On espère mais la tension est plus forte.
A mesure que l'espoir s'amenuise c'est le désarroi qui se profile.
C'est exagéré parce que c'est dérangeant. Et vice versa.
Mais pas de doute, ça existe.
Et la réponse est non. Non on ne soigne pas le mal par le mal.
Preuve en est.