Un photographe infatué, dédaigneux, des femmes prêtent à n'importe quoi et qui deviennent des chiennes après trois mots d'exhortation suffisent amplement à expliquer mon rejet. Incomplet, figé et une sensation d'ampoulé, cristallisée probablement par les stéréotypes sur les années 60', dans un univers BCBG/bobo de surcroît (jusqu'à la scène interminable de fumerie) . Ce qui met à mal le prétexte du métrage : réalité, subjectivité, regard, ouverture, réflexion du photographe, art, et suite.
J'ai lu des critiques ici et ailleurs (qui portent le nom d'analyse donnant différentes certitudes sur ce qui est à comprendre) , et rien n'a pu me convaincre de tenter un regard autre sur ce film.
Une impression que le réalisateur a voulu prendre un train en marche, s'est retrouvé dans le wagon à bicyclettes, le regard rivé sur les cloisons.