3
Pas drôle.
Effroyables Jardins, datant déjà de 2002, est certainement le dernier bon film de Jean Becker. Depuis, le réalisateur de L’Été Meurtrier ne fait qu'enchaîner mièvreries sur mièvreries. Bon...
Par
le 24 janv. 2015
5 j'aime
Effroyables Jardins, datant déjà de 2002, est certainement le dernier bon film de Jean Becker. Depuis, le réalisateur de L’Été Meurtrier ne fait qu'enchaîner mièvreries sur mièvreries. Bon Rétablissement ! n'échappe pas à la règle : c'est gnangnan au possible et parfaitement inoffensif. Les comédiens vont et viennent sans arrêt mais on ne retient rien de leur personnage : Becker ne fait qu'effleurer quelques portraits sans épaisseur, si bien qu'on ne s'intéresse très peu à leur vie, à leurs problèmes. Et puis, il faut le dire : on ne rit pas un seul instant. Le twist final donnerait d'ailleurs presque envie de pleurer...de honte.
3
Écrit par
Créée
le 24 janv. 2015
Critique lue 661 fois
5 j'aime
D'autres avis sur Bon Rétablissement !
7
Une comédie soignée...
Jean Becker renoue avec le « film de copains » à la Yves Robert, qui a fait les belles heures de la comédie française dans les années 70. C’est en effet l’impression générale que donne « Bon...
le 10 sept. 2014
5 j'aime
4
De l'éternel débat sur la qualité de la nourriture en milieu hospitalier
Bon rétablissement, c'est ce qu'on lance aux gens qui ont petite mine au fond de leur lit d'hôpital, à l'image de Gérard Lanvin dans le film. Si cette petite mine peut s'expliquer par les douleurs...
le 6 juin 2015
4 j'aime
5
Du même critique
8
Wow...
On pourrait parler longuement du générique du début qui dit tout sur le film (notamment le robinet qui coule au compte-goutte), des dernières images qui te disent d'aimer la vie même si tout le...
Par
le 10 janv. 2011
25 j'aime
5
Nouveau Virage.
Bon, autant être direct : je suis déçu. Random Access Memories, par rapport à ses aînés, est résolument plus funky, le côté électro étant légèrement mis en retrait, voire totalement effacé si on...
Par
le 14 mai 2013
22 j'aime
2
9
Jouissif.
Les tous derniers instants de Whiplash, ponctués par quatre minutes de folie pure en solo de batterie, m'ont plus ému que les cent-vingt minutes cancéreuses de Nos Etoiles Contraires. Où je veux en...
Par
le 10 févr. 2015
18 j'aime
