Ce qu'il y a de bien avec les films de (ou avec) Mel Gibson, c'est que le scénario est interchangeable d'un film à l'autre. Pour faire simple, c'est l'histoire d'un gars qui ne demande rien à personne (Wallace/Benjamin Martin/Jésus/l'indien tout nu dans Apocalypto) mais qui voit la merde lui arriver dessus. Alors il en prend plein la tête tout le long du film, mais même si il meurt à la fin, s'en tire en grand vainqueur.
Braveheart ne fait bien sur pas exception à la règle, mais là, ça fonctionne, et plutôt bien. Ca reste un film quand même basique, mais c'est plutôt bien filmé (puis c'est quand même 'achement beau l'Ecosse).