Terry Gilliam crée un monde à part entière avec des écrans,machines à écrire, tube, du papiers, papiers, papiers, paperasses... Dans une société totalitaire, les humains sont classés et hiérarchisés. Tout passe par la paperasse et une erreur n'en n'ai pas une tant qu'il n'existe plus personne pour en témoigner. L'idée d'un monde apocalyptique est alléchante.
Seulement je n'accroche pas. L'esthétique noir et sans lueur ne m'a pas plu.
Il n'y avait que les moments de rêves où je me sentais plus à l'aise devant l'écran.
Lorsque le personnage principal rêve, j'aimais cette douceur et cette part d'imaginaire. L'homme devenait une sorte d'oiseau à quatre membre munie d'une magnifique paire d'aile.
Le reste du film reste sombre à la limite du dégoût pour ces machines qui prennent beaucoup de place.
Les personnages ne sont pas très attachants au contraire plutôt ragoûtant. Toustes vivent dans un monde de consommation à outrance.
le scénario en lui-même est décevant : homme banal qui travail dans la bureaucratie tombe amoureux. C'est à partir de ce moment là que sa vie rangé devient désordre parce qu'il décide de la sauver de son destin. Sans succès.
Vide d'espoir ce film m'attriste et ne donne pas envie de croire en l'humanité.