Elle a choisi la vie, Maya
S'il y a une chose qu'on peut reprocher à Ken Loach, par ailleurs doté d'une considérable aura compte tenu du fait qu'il est à peu près le seul cinéaste à réussir à se sortir du marasme...
Par
le 20 sept. 2014
3 j'aime
"Bread and Roses", nouvelle démonstration par l'Anglais engagé (et enragé) Ken Loach sur la lutte des classes, prouve surtout qu'il ne gagne décidément rien à quitter l'univers, qu'il connaît bien, de son pays : les mécanismes assez grossiers de son cinéma, qui desservent malheureusement de plus en plus la vérité des personnages au profit de la clarté (le simplisme ?) du message politique, ne sont certainement pas aussi convaincants quant il traite du sous-prolétariat latino - sans parler d'une certaine tendance au mélodrame un peu lourd... Pourtant, Ken Loach réussit encore dans "Bread and Roses", en une seule scène à la fois glaçante et bouleversante entre les deux sœurs, à nous prouver qu'il peut encore faire très mal. [Critique écrite en 2002]
Créée
le 14 oct. 2016
Critique lue 395 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Bread and Roses
S'il y a une chose qu'on peut reprocher à Ken Loach, par ailleurs doté d'une considérable aura compte tenu du fait qu'il est à peu près le seul cinéaste à réussir à se sortir du marasme...
Par
le 20 sept. 2014
3 j'aime
J'ai trouvé que Bread and Roses n'était pas très bon mais qu'il était construit pour les américains, pour l'exportation. C'est un film culturel et fait pour les américains, j'en suis convaincu. Et à...
Par
le 13 janv. 2013
3 j'aime
3
"Bread and Roses", nouvelle démonstration par l'Anglais engagé (et enragé) Ken Loach sur la lutte des classes, prouve surtout qu'il ne gagne décidément rien à quitter l'univers, qu'il connaît bien,...
Par
le 14 oct. 2016
2 j'aime
Du même critique
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
191 j'aime
115
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
190 j'aime
25