Bonjour.


Comme on dit, la politesse avant tout.


Si vous êtes à la recherche de la critique parfaite, passez votre chemin. Vous avez bien remarqué que je n’ai même pas su comment ouvrir ma critique… mon texte… mon billet… Je ne sais pas, appelez cela comme vous le souhaitez. Ici, vous ne trouverez que quelques pensées rescapées des débris de mon cerveau.


Je n’irais pas jusqu’à dire que je me suis fait lobotomisé ou quoi que ce soit, mais rien que de repenser au film, je retourne à l’état de « choc » dans lequel je me trouvais pendant et après le visionnage…
Je ne connaissais rien du film avant de le lancer. Je pensais que c’était un film policier, que j’allais me retrouver face à une histoire classique. J’ai vite compris que ça n’allait pas être le cas quand ma bouche a commencé à s’ouvrir…


« MAIS QUOI ?? »


Et c’est parti pour un délire total d’une heure et demi.
Partant d’une histoire simple, le récit part dans tous les sens. Jamais on ne saura vers où la minute suivante se dirigera. Ce film mélange à la perfection ordre et désordre.
Je ne sais pas si un film m’a déjà ébahi à ce point. De surprises en surprises, plus le film avançait, et plus je dansais. Oui je dansais. Vous ne me croyez pas ? Si vous aviez ouvert ma porte pendant ma « séance », vous m’auriez accompagné pour quelques pas de macarena… Vous savez, cette danse qui se fait principalement avec les bras ! Mes bras… ils ne tenaient pas en place, chaque minute ils se levaient, se mettaient devant ma bouche, sur ma tête, partout… Pourquoi ?


Est-ce que c’est dû au fait que dans l’inconnu, on agit de manière étrange ?



SOUDAIN, UN JEAN BENGUIGUI SAUVAGE APPARAIT !



Je vais maintenant tenter devant vous une expérience inédite : Comparer un film de Sion Sono à un film de Bertrand Blier. Oui car au point où j’en suis, je peux me permettre de comparer Love Exposure à Buffet Froid. Pour moi, ces deux films sont un « délire », une œuvre puissante et décalée. Cependant, Love Exposure dure 4 heures, et je n’ai pas vu le temps passer. Buffet froid dure 1h30, et j'ai vu le temps passer. Pourtant je le dis et je le répète, j’ai adoré ce film. Incroyable n’est-ce pas ? Impossible ? Et pourtant… Plus le film avançait, plus mon plafond prenait des coups dû à mes sauts, plus mes rire se faisaient entendre, et plus j’avais envie que ça s’arrête. Pourquoi ?


Est-ce que c’est dû au fait que face à la perfection, on agit de manière étrange ?


Chaud ou froid, des buffets comme celui-ci, ça ne se refuse pas.


J’ai conscience que mon texte n’est pas très élaboré, et encore moins construit, mais j’ai choisi de l’écrire d’une traite, car c’était maintenant ou jamais… logique.
Oui c’est logique. Tout est logique.


PS : Confucius, si tu ne t’es pas arrêté à la troisième ligne et que tu me lis, arrête de faire genre, va à ta médiathèque et … tu sais ce qu’il te reste à faire.
PPS : Un grand, très grand merci à Cultural Mind, qui m'a vivement conseillé ce film. Ce type est un génie.


Ah, et au fait… Au revoir.

TheBadBreaker
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le 26 août 2014

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