Mélodrame didactique sur les blessés de guerre devenu paraplégiques. Le film enquille tout les poncifs du genre, sans jamais vraiment les transcender, le tout est aggravé par une musique omniprésente qui souligne lourdement chaque émotions. Brando dans une performance à Oscars, s’en sort pas mal, les seconds rôles sont plutôt bon et sauvent l’entreprise du désastre. On a connu Fred Zinnemann plus inspiré.
Johannes_Roger
5
Écrit par

Créée

le 3 oct. 2014

Critique lue 434 fois

Johannes Roger

Écrit par

Critique lue 434 fois

D'autres avis sur C'étaient des hommes

C'étaient des hommes
Boubakar
8

Le premier rôle de Marlon Brando.

Durant la guerre, un jeune homme prend une balle dans le dos, le paralysant la partie inférieure de son corps. Cet ex-soldat va mal vivre sa nouvelle condition de paraplégique, au grand dam de sa...

le 28 juil. 2012

2 j'aime

C'étaient des hommes
cathVK44
6

La bravoure est dans la résilience.

Entre douleur et désespoir, la bravoure est dans la résilience. Marlon Brando dont c’est le 1er rôle au cinéma a donné de sa personne en interprétant le rôle d’un blessé de guerre devenu...

le 23 oct. 2024

C'étaient des hommes
Johannes_Roger
5

Critique de C'étaient des hommes par Johannes Roger

Mélodrame didactique sur les blessés de guerre devenu paraplégiques. Le film enquille tout les poncifs du genre, sans jamais vraiment les transcender, le tout est aggravé par une musique omniprésente...

le 3 oct. 2014

Du même critique

Premier Contact
Johannes_Roger
7

Critique de Premier Contact par Johannes Roger

Sur un sujet proche, Villeneuve réussit là ou son collègue Nolan avait partiellement échoué sur « Interstellar ». On y parle de l’intime et du collectif, de temps et d’espace, la temporalité étant...

le 8 déc. 2016

13 j'aime

2

Le ciel attendra
Johannes_Roger
3

Critique de Le ciel attendra par Johannes Roger

Les bonnes causes ne font pas forcément de bons films. Ici le sujet est traité avec les gros sabots habituels du cinéma français. Scènes tire larmes suivies de leçons de morale ne laissant place à...

le 4 nov. 2016

11 j'aime

10

Hondo, l'Homme du désert
Johannes_Roger
7

Critique de Hondo, l'Homme du désert par Johannes Roger

Un bon western classique, conçu initialement pour la 3D. John Wayne y campe un éclaireur métisse, ce qui ne semble pas évident à première vue, mais le bonhomme est tellement à l’aise dans ses bottes...

le 20 janv. 2014

11 j'aime