Avec le buzz monstrueux qui précédait le film, on pouvait attendre un film d'épouvante qui viendrait donner un coup de pied au cul à un genre à la peine depuis quelques années, dominé par les films fadasses et formatés pour pré-ados (Ouija, Annabelle et consorts). Triste de voir que Ça tombe finalement dans la même dialectique, reprenant toutes les ficelles et codes de l'horreur moderne sans saveur. Si le film de Muschietti essaie de coller plus fidèlement au livre que les deux téléfilms avec l'excellent Tim Curry qui avaient marqué toute une génération, il perd en revanche son esprit transgressif et sombre dans un esprit mainstream qui ne lui rend pas justice.
Critique complète : http://mondocine.net/cinema-ca-critique-film/
Créée
le 20 sept. 2017
Critique lue 266 fois
D'autres avis sur Ça
Ultra attendu depuis l'annonce de sa mise en chantier, over hypé dans les moindres détails de ses intentions et de son tournage, classification jugée hardcore, célébration anticipée d'un retour aux...
le 20 sept. 2017
119 j'aime
25
Les adaptations des œuvres de Stephen King ne se comptent pas sur les doigts d’une main, et ce depuis plusieurs années. On en dénombre plus de 80 à l’heure actuelle et le rythme n’est pas prêt de...
Par
le 22 sept. 2017
103 j'aime
32
Je ne vais pas dire que ça me soit aussi antipathique que peut l'être la pâtée moyenne de chez Blumhouse dans la veine Wan : au moins ici, le propos qui vient poindre sous l'horreur nous épargne les...
Par
le 17 sept. 2017
82 j'aime
7
Du même critique
Pour une fois, une suite à la hauteur de l'original. Paddington 2 est toujours aussi charmant, drôle, optimiste et émouvant. Un joli film pour toute la famille qui va égayer l'arrivée de...
le 30 nov. 2017
6 j'aime
1
Un espèce de croisement entre le Very Bad Things de Peter Berg et un Very Bad Trip au féminin (genre le truc qui n'a jamais été fait quoi.......). Le résultat est une catastrophe apocalyptique,...
le 14 juil. 2017
5 j'aime
L’histoire d’une patineuse redneck entre les Jeux Olympiques et un sordide fait divers. Sur le papier, Moi, Tonya laisse songeur. À l’écran, il surprend. Porté avec conviction par une exceptionnelle...
le 5 janv. 2018
3 j'aime
