La Galice jusqu'à l'hallali
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Un homme qui se sait condamné à mourir à très brève échéance entreprend de régler quelques affaires urgentes comme la future garde de son petit-fils. Telle est en substance la trame plutôt simple de Carturan, le premier long-métrage du cinéaste roumain Liviu Sandulescu. Un thème prometteur que le réalisateur traite sans beaucoup d'ambition, peut-être effrayé par son potentiel émotionnel. Et de fait, le film est très froid et presque anecdotique et, qui plus est, souvent répétitif, la température ne montant légèrement que lorsque le futur défunt s'entête à vouloir organiser un repas de funérailles en sa présence et en celle du cercueil qu'il s'est fait confectionner (sic). Pour le reste, Carturan enchaîne paresseusement les scènes sans chercher à nous toucher ou, pourquoi pas, à nous faire sourire. La mise en scène est quasi inexistante et l'ennui pourrait vite pointer son nez si le film n'avait pas la politesse de s'arrêter au bout de 90 minutes.
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Créée
le 15 nov. 2019
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