Pas mon délire
J'ai quand même l'impression que le cinéma de Brisseau n'est pas pour moi, ce n'est pas que je n'en verrai pas d'autres ou que ce film ne m'a pas plu (beaucoup plus que les deux autres que j'ai pu...
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le 31 mai 2020
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Il m'a semblé cette fois que le génial Brisseau se fourvoyait un peu dans une histoire new age, voire "baba", dont la "gentillesse" et la douceur lui convenaient mal. Si l'on retrouve cette fois au centre du récit cette aspiration au surnaturel qui perçait déjà dans certaines scènes des films précédents, et qui permettent d'apprécier la cohérence d'une vision de "vrai artiste", on peut déplorer que Brisseau, en abandonnant le point de vue réaliste / social qui équilibrait tous ses films précédents, désincarne un peu trop son cinéma. Même frustrant, "Céline" est probablement une étape obligée dans l'évolution d'un cinéaste singulier, et IMPORTANT. [Critique écrite en 1992]
Créée
le 28 juil. 2016
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