Après un très bon démarrage, on comprend que le film veut nous délivrer un message, c'est son droit, sauf que c'est simpliste. Ceux que leur activité ont été amené à côtoyer des handicapés savent que c'est parfois très compliqué. L'autre soucis c'est que ce message dure 1 heure trois quart ! 105 minutes de déferlante de bons sentiments dans un scénario sans aspérités illustré par des matches de basket qui n'ont pas grand intérêt si on ne s'intéresse pas à ce sport. Ah, si, il y a madame et ses déboires conjugaux, jouée par une actrice horripilante, et évidemment à la fin tout s'arrange… eau de rose quand tu nous tiens… A noter que le film contient un autre message plus discret qui est de dire que la compétition c'est fait pour gagner pas pour humilier, un précepte tombé dans les oubliettes.