Pour ma mémoire
Absurde des situationsMusicalité et chorégraphiesDeux temps : l'ordinaire et l'identité
Par
il y a 6 jours
Revu 02.01.2016, aussi urgent qu'à sa sortie. (L'arme de l'humour (juif !?) utilisé par un palestinien, comme distanciation salvatrice, moralement et humainement nécessaire. D'où utilisation d'une frontalité théâtrale et ce désespoir latent d'attentes ou de gestes mécaniques en attente de rupture, d'un vrai accident qui les sorte de la mécanique de la méfiance et de l'état de gel binaire dû à la guerre... Écriture par pertes et retrouvailles de fils laissés au hasard de l'errance, cette petite énergie permise au désespoir.)
Créée
le 2 janv. 2016
Critique lue 382 fois
D'autres avis sur Chronique d'une disparition
Absurde des situationsMusicalité et chorégraphiesDeux temps : l'ordinaire et l'identité
Par
il y a 6 jours
Revu 02.01.2016, aussi urgent qu'à sa sortie. (L'arme de l'humour (juif !?) utilisé par un palestinien, comme distanciation salvatrice, moralement et humainement nécessaire. D'où utilisation d'une...
Par
le 2 janv. 2016
Du même critique
Revu récemment le 6 juillet 2011 sur écran d'ordinateur mais surtout le 18 et le 20 mai 2014, en salle. Toute la grandeur du film ne m'est apparue d'ailleurs que sur grand écran... en projection...
Par
le 12 sept. 2015
12 j'aime
Film masculin au possible, proche de la grossièreté souvent et pourtant porté par la grâce du jeu... Cavalier réussit un pari unique, celui d'une collaboration étroite avec ses acteurs qui, si mes...
Par
le 2 oct. 2015
11 j'aime
La vraie comédie est-elle évangélique ? C'est ce que semble prouver (ou vouloir montrer) le Fils de Joseph. En quoi ? En résistant à l'appel du meurtre, du règlement de compte. Comment ? Au lieu de...
Par
le 8 mars 2016
10 j'aime
1