On retrouve une nouvelle fois la jolie canadienne Merritt Patterson dans un téléfilm à l'eau de rose un peu plus drôle que d'habitude et donc plus agréable à suivre.
Les patrons de ce futur couple sont de véritables psychopathes tant ils se donnent du mal à gâcher leurs différents rencards. Cela dit, j'aurais aimé qu'ils aillent plus loin dans la férocité. C'est marrant de voir le beau visage (mais pas aussi beau que celui de Jessica Lowndes, qu'elle se rassure) de Merritt trempé. A voir sa réaction, tu sens que ça ne doit pas arriver souvent dans les tournages Hallmark tellement ils sont lisses et sans surprise.
Point qui n'est pas du tout développé non plus mais qui m'a frappé : ils sont tous rivés toute la journée sur leur tablette, leur téléphone portable ou leur ordinateur et n'arrivent pas à communiquer entre eux et à dire ce qu'ils ressentent. La technologie, c'est bien pour un tas de trucs, garder contact quand on est à l'autre bout du globe mais là c'est un sacré problème.