Viol en réunion
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Que dire, que dire...
Je suis chamboulé. Au plus profond de mon être. Ayant vu ce film aux côtés de mon collègue, néanmoins neveu émérite de 5 ans, Dylan, étudiant à l'école maternelle Carboue à Mont-de-Marsan, j'ai ressenti une connexion profonde avec les problèmes profonds des sujets. Dylan, ce cher bambin, lui-même disait: "Intéressante ouverture sur l'influence du patriarcat". Ce à quoi j'ai rétorqué, "C'est ta jeunesse qui parle, rouage qui tourne n'amasse pas rouille".
Mais je m'égare...
Comment parler de cette claque sans évoquer sa référence directe ? Pour moi, évidemment, ce film est un "remake" - comme diraient nos amis hollywoodiens -, du célèbre film 12 Years A Slave de Steve McKing, mais traite le sujet bien plus finement.
Dylan lui-même m'a avoué avoir trouvé 12 Years A Slave embourbé dans les clichés sempiternellement orientalistes.
A mes détracteurs des "Cahiers Du Cinéma",
J.E. McCritinski, maître de conférence à Paris VIII.
Créée
le 29 mars 2017
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