Termine Nathan*
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Moi, Mark Lester, c'est un de mes réalisateurs préférés. Et ce depuis que j'usais la VHS de Commando jusqu'à la moelle quand j'étais gosse. Ça vient de là.
Je n'ai pas vu tous ses chefs d’œuvre, je ne suis même pas sûr que tout soit sorti en France, mais à chaque fois je fais le même constat. C'est incroyablement con et, à la fois, généreux et jouissif.
Con parce qu'en 1999 pour Mark Lester, les États-Unis sont une zone de guerre. Les bus scolaires ressemblent à des chars d'assaut, les bandes contrôlent les rues à l'arme lourde et les lycées sont gardés comme des pénitenciers.
Trois androïdes, apparemment d'anciens soldats de l'armée reprogrammés, sont chargés de faire régner la discipline. Attention, ce ne sont pas des monsieur Keating ou Michelle Pfeiffer dans Esprits rebelles. Les leçons de vie, ce n'est pas trop leur truc. Fidèle à leur réalisateur, c'est balancer des fessées dans un premier temps avant de tirer dans le tas par la suite qui rend Class of 1999 hilarant. Tout en plagiant à fond Terminator.
Mais c'est pas grave. Voir ces jeunes prendre d'assaut leur lycée et y entrer avec leurs motos et des bazookas au lieu de se barrer en courant, c'est un grand moment. Alors pour 1999, il s'est planté Lester. Mais pour 2030 ou 2040, allez savoir.
Créée
le 7 août 2021
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