La double imposture
Un illustre inconnu, Hossain Sabzian, entre chez des particuliers en se faisant passer pour le cinéaste Mohsen Makhmalbaf (un des réalisateurs iraniens les plus connus). Il est arrêté et traduit...
Par
le 6 juin 2013
34 j'aime
3
À la lisière du réel fabulé et de la fiction documentée, ce récit épouse, jusque dans sa chair filmique, la double nature du cinéma. Son atout, et sa limite, étant la pureté d'apparence avec laquelle s'exprime ce vaste geste artistique.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films d'Abbas Kiarostami et Mai 2021 / Cinéma
Créée
le 14 mai 2021
Critique lue 44 fois
3 j'aime
D'autres avis sur Close-Up
Un illustre inconnu, Hossain Sabzian, entre chez des particuliers en se faisant passer pour le cinéaste Mohsen Makhmalbaf (un des réalisateurs iraniens les plus connus). Il est arrêté et traduit...
Par
le 6 juin 2013
34 j'aime
3
Sans sa mise en scène particulière entre fiction et documentaire, mensonges et vérités, rêves et réalité, le thème en lui-même n'a rien d'extraordinaire, si ce n'est sa construction à bousculer les...
Par
le 3 mars 2019
17 j'aime
5
La beauté de la dernière séquence, pourtant mutilée dans sa bande son à cause d'un micro ne fonctionnant qu'à moitié, est renversante. Un choc émotionnel d'une rare intensité, et difficile à...
Par
le 8 août 2018
17 j'aime
7
Du même critique
Dans des plans très beaux (quoiqu'empruntés au naturalisme des Dardenne), Dhont offre des rôles superbes à L. Drucker et E. Dequenne. Mais l'ensemble souffre de nombreuses facilités de scénario pour...
le 27 mai 2022
8 j'aime
Indispensable pour son sujet et ce qu'il témoigne des violences sexuelles faites aux mineurs. Mais, comme objet de cinéma, hormis les inventions exportées du théâtre, il n'invente rien. Et...
le 20 nov. 2018
8 j'aime
8
La puissance de cet EP, derrière la modestie de son contenu, tient à la sagace composition de ses beats, entre rap, hip hop et dubstep franc, et à la plume aiguisée et percutante de son auteur,...
le 25 mai 2017
8 j'aime