La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
C'est dans une veine que l'on pourra qualifier de mizoguchienne, au même titre que Tristesse et beauté, mais de manière beaucoup moins sophistiquée, eu égard à un scénario assez classique, que se situe Clouds at Sunset, rarement cité parmi les plus grandes réussites de Masahiro Shinoda. A raison, sans doute, le film valant surtout par un beau portrait de femme, quelque peu candide, une âme pure, face à un homme à la fois manipulateur et faible, déserteur recherché par l'armée (le film se situe dans le Japon de 1937). Le drame a de la tenue, avec une certaine idée du romantisme, symbolisée par une poignée de courtes séquences en couleurs, et offre un bel écrin à la gracieuse Shima Iwashita, qui tournait là, pour la sixième fois, sous la direction de son mari.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Cinéma japonais des années 60
Créée
le 8 janv. 2024
Critique lue 9 fois
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
72 j'aime
13