Tranches de vies mon vié tout en séquences entrecoupées, image dégueulasse justifié par "les belles images n'ont rien à faire dans un film réaliste", second poteau second poteau, j'étais déjà pas super client du concept, version au rabais j'te raconte même pas, en vérité le film transpire la condescendance en cherchant désespérement à se dédouaner de toute émotivité, bon j'commence à connaitre le mec maintenant j'suis pas vraiment surpris, fallait signer le dogme Michael, très honnetement je comprends l'idée mais c'est carrément trop pénible à suivre.
Pour un autre.