Encore une voix off déclamant, pendant 12 mn, pêlemêle, sur la guerre d’Espagne et évoquant le poète espagnol Federico García Lorca (1898-1936), sur des dessins gribouillés, puis sur un défilé, des bateaux navigants, puis retour aux gribouillages, des camions dans une carrière, une musique de harpe, des extraits radiophoniques, et pour terminer, sur des coquelicots en fleurs et des bruits d’avion. Margaret Tait se comporte comme un gamin qui découvre un camescope et filme tout ce qu’il entoure ! Le syndrome de l’inventaire à la Prévert a encore frappé !