D'habitude, je ne suis pas un grand aficionado des kitscheries visqueuses et grotesques du sieur Mandico (le souvenir du gros molard wannabe artsy After Blue me donne encore des haut-le-cœur) mais dans cette nouvelle itération/réinvention des aventures de Conan il y a de la viscéralité, de la vengeance, du body horror, du mélo tragi-comique, un clin d’œil à Titane, une putain de DeLorean, du hip-hop, de la zoophilie, une satire de cette génération poseuse pseudo-progressiste et des blagues sur les vegans. Et en plus, c'est grave entertaining cette fois (contrairement à cette immondice gluante nommée After Blue). Que demander de plus ?
Sinon, j'espère que ça incitera les pseuds snobinards et autres cinéphiles autoproclamés à regarder Conan le Barbare avec Schwarzy.
It's not what you think! I can explain