Transgressions hyboriennes
Mandico veut faire sa version de Conan et ça donne un film de Mandico... à savoir décors délirants, Elina Löwensohn, du sexe, du dégueu, des costumes improbables sexy et dégueu et re Elina...
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le 4 mars 2024
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1
Difficile de bien décrire ce film. Je ne suis pas sûr d'avoir compris grand chose (à part quelques points sur la critique de la position de l'artiste).
Le début est pas mal "art et essai" mais on commence à avoir un peu de cohérence vers le milieu, et jusqu'à la fin.
Je ne sais pas si le "in medias res" apporte énormément ici, du moins je ne sais pas ce que cela apporte à part une entrée rapide dans cet univers graphique assez tranchant.
Par certains aspects, j'ai pensé à Blood Machines de Seth Ickerman, le rapport est assez lointain en terme de tout, sauf pour cet aspect un peu "clip", avec une direction artistique assez artistique justement.
L'image est cool, les acteurs jouent bien pour la plupart.
Je pense que cela peut grandement plaire à ceux qui aiment la surprise et le manque d'inhibition. J'ai eu quelque passages qui m'ont un peu sorti du film, mais on peut se laisser porter (au moins du milieu à la fin).
Il y a quelques critiques violentes, et pas mal de violence au final.
C'est de nouveau un avis assez personnel, mais je pense que l'auteur a repris un peu des idées que Howard voulait laisser transparaître dans le personnage de Conan (le barbare) afin de montrer quelque chose de beaucoup plus brutal et sans limite, de montrer un côté assez crû et non une justification du "barbare".
Franchement, je recommande, c'est sûr que ça ne plaira pas à tout le monde mais il y a beaucoup de matière et on voit qu'il y a quelque chose derrière.
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Créée
le 3 déc. 2023
Critique lue 21 fois
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