La première fois que je l'ai vu, je me suis dit que ça allait être un nanard de plus, aussitôt vu, aussitôt oublié.
La seule chose que j'ai oubliée, c'est le nombre de fois où j'ai vu ce film. 10 fois ? Plus ? C'est le type même du guilty pleasure. On sait qu'il y a pas mal de défauts, que l'adaptation est loin d'être fidèle à l'original, mais on s'en fout.
C'est drôle, c'est bien foutu, c'est addictif.
John Constantine peut circuler en enfer, va bientôt s'y rendre de façon définitive à cause d'un cancer avancé des poumons. Le diable l'attend, les démons ne l'aiment pas, les anges non plus, et ses amis tombent comme des mouches. Comment dans ces conditions parvenir à une happy end ? C'est la magie d'Hollywood...