Gerard Butler, l’homme qui mâche des clous et crache des douilles
Big Nick est de retour, et il n’a pas changé. Toujours le même regard de pitbull affamé et la main légère sur la gâchette. Gerard Butler te fait croire qu’il pourrait défoncer un coffre-fort juste en le regardant mal. Ce mec, c’est le John McClane des Alpes-Maritimes, version « je bois un pastis avant d’ouvrir le feu ».
Les braqueurs, les diamants et la mafia : Un combo digne d’un GTA européen
On est clairement dans une ambiance à la GTA : Côte d’Azur Edition. Donnie est coincé entre des voleurs de diamants bien sapés et la mafia des Panthères Noires, un mélange explosif qui ferait passer les Triades pour une colonie de vacances. Et là où tu penses qu’on va rentrer dans du cliché, bim ! Deux twists de fin qui te rappellent pourquoi tu t’es assis dans la salle.
Les flics français, ces figurants de luxe
On ne va pas se mentir : les flics français sont ici pour faire de la décoration. Ils se baladent en Clio pendant que Butler conduit un tank émotionnel. Ils passent pour des andouilles, mais bon, c’est bien connu : dans les films américains, si t’es flic et français, t’es aussi utile qu’un couteau à beurre dans une guerre des tranchées.
Nice, la carte postale version bastos
Les paysages sont magnifiques, entre les petites ruelles et les plages, mais t’as pas le temps de contempler : chaque plan de drone est suivi d’une explosion ou d’un échange de tirs. La ville devient une zone de guerre où même les retraités qui jouent à la pétanque se planquent sous les tables.
Butler VS Donnie : La guerre froide des bourrins
Les confrontations entre Big Nick et Donnie, c’est un peu comme si Batman poursuivait le Joker, mais à la sauce braquo et Ricard. Ça cogne, ça provoque, et tu sais que la grosse baston finale va laisser quelques dents sur le carrelage.
Conclusion : Ça sent la sueur et la poudre, mais c’est ça qu’on aime
Pas besoin de se prendre la tête avec un scénario de génie. Criminal Squad : Pantera, c’est du divertissement bourrin, mais bien foutu. T’en ressors avec l’impression d’avoir vu un mélange entre Heat et un épisode des Experts : Nice sous amphétamines. Butler est en roue libre, et franchement, on ne demande rien de plus.
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