« Cul et chemise » n’est pas le film le plus mémorable avec le duo, se déroulant en Afrique, il offre quelques petites scènes de baston, quelques beaux gags scatologiques, un message environnemental mais déçoit clairement par une petite chose qui est pourtant une signature du duo : il n’y a Pas de baston final, si ce n’est une entre Bud Spencer et un (vrai) boxeur (il avait déjà fait le coup, dix ans avant dans « La colline des bottes »). C’est le producteur habituel du duo : Italo Zingarelli, qui, pour une fois, est passé derrière la caméra. Il est responsable, à ce que j’ai lu, de bien des coupes sur leurs films. « Cul et chemise » à été un des plus gros cartons en Italie.
Mais il semble bien fauché par rapport à bien des productions avec le duo.
Les trois suivants, tous des chefs d’œuvres, et pas que pour moi, retrouveront plus que jamais la saveur du duo.