Un film sans auteur.
Il y a des films dont l'histoire dépasse largement ce qu'on voit à l'écran, et qui fait que ça reste passionnant à voir car ça raconte aussi une époque. En 1931, Jean Grémillon tourne Daïnah la...
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le 27 déc. 2019
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Notes :
L’actrice et sa photogénie ne sont pas pour rien dans cette a/in-spiration. Et une osmose rare entre une qualité documentaire assez forte (le jeu de certains acteurs dont Vanel est totalement dégagé du muet et du théâtre) et des moments très plastiques, et l'un semble se fondre dans l'autre sans encombre, réalisme et poésie.
Mon imagination et mon souvenir - j’avais vu le film il y a environ vingt-cinq ans - avaient rajouté une résurrection de Daïnah, une sorte de moment supplémentaire de sorcellerie.
Et je ne sais pas si cela aurait fait un film meilleur, si cela fait partie peut-être de ces choses qui ont été amputées au film et qui augmente encore son aura hypnotique.
On retrouve la morsure du Gardiens de Phare, mais sans la rage. Charles Vanel parfait comme d'habitude. Une belle illustration par l'exemple de la cinégénie dont parle Epstein...
Créée
le 17 sept. 2015
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