Alors, qu’on soit bien clair, rien n’est cohérent dans ce film, ou du moins, j’ai eu du mal à comprendre le concept (et pourtant, c’est tiré de Stephen King). Un enfant se paume dans un champ d’herbe haute (en même temps, qu’elle idée de rentrer dans un champ où on ne voit pas à 3 mètres). Si on suit bien la maigre logique, on peut être partout à la fois sans même bouger d’un pouce. Et si on continue, on se retrouve dans une boucle temporelle au fin fond du trou du c*l du monde. On notera toutefois le petit clin d’œil à Christine, et le paysage en pleine cambrousse.